L’été à l’amante,
Le petit salon ouvrait dans un jardin,
Émerveillement en ce lieu citadin,
Toute la belle société de la province,
Étalait en sa verdure leurs airs de petit de prince.
À un jeune sot mal habillé qu’on eut dit sans sou,
L’autorité bourgeoise d’un œil avisé l’eut jugé fou,
Alors pour rire fut invité au thé à la menthe du dimanche,
Mais le garçon un peu rude avait plus d’un tour dans sa manche,
Avec un parlé familier, et des yeux noirs fripons,
Ne faisant fi des bonnes manières, détroussa bijoux et jupons,
Travaillant tout l’été au corps à corps la jeune hôtesse,
Enjouée était l’amante entre les fesses et la messe.
mon second poème du CC "l'été"
Le petit salon ouvrait dans un jardin,
Émerveillement en ce lieu citadin,
Toute la belle société de la province,
Étalait en sa verdure leurs airs de petit de prince.
À un jeune sot mal habillé qu’on eut dit sans sou,
L’autorité bourgeoise d’un œil avisé l’eut jugé fou,
Alors pour rire fut invité au thé à la menthe du dimanche,
Mais le garçon un peu rude avait plus d’un tour dans sa manche,
Avec un parlé familier, et des yeux noirs fripons,
Ne faisant fi des bonnes manières, détroussa bijoux et jupons,
Travaillant tout l’été au corps à corps la jeune hôtesse,
Enjouée était l’amante entre les fesses et la messe.
mon second poème du CC "l'été"