Mon cri.
Comme hier, aujourd’hui je pousse ce grand cri,
L’attente est longue de ne plus lire tes écrits,
Avec toi de ne plus partager tes amours,
De ne plus avoir à jongler de mon humour.
C’est pour moi une vaste et immense transformation,
Que de ne plus traduire en vers toutes tes émotions,
Reviens donc avec moi, trinquer un bon pastis,
Pour rire ensemble de mes piteux pastiches.
A l’humour
Dans mon bagage de l’humour,
Celle au fluide m’amène au-delà,
J’ai beau faire toujours des fours,
Demain, encore, je serai plus bas.
Ma peur décrie mes veines,
Me glace, mais sans whisky,
En vieux, j’me déchaîne,
En premier cas dans l’ennui.
Où fleure bon mon jasmin,
Deviendra ma raison, ma chaîne,
Ce jour, J’me fiche de tes seins,
La renaissance est un sport qui me déchaîne.
Je ne veux pas dissocier le sensuel,
Toujours, je m’efforce de ne pas reculer,
L’humour est toujours éternel,
Pour cette saison encore avancer.
Il vaut mieux être mort de rire sans vanité,
Dans un endroit ensoleillé, ou mon rêve m’emporte,
Damné ou condamné, mais encore à fêter,
Sans feu sans flamme en quelques sortes.
Hier, je pensais à vous
Nous deux, petits vieux,
Nous vous suivons des yeux,
D’un flamand ou d’un wallon,
De savoir convoler, un don.
Ce jour, je pense à vous.
L’été arrive à grand pas,
En ce début de printemps,
Au soleil maintenant,
Le retour arrive, il est là.
Ce soir, je pense à vous,
Aux problèmes à résoudre,
Où la distance ne devrait pas compter,
Mettre en miettes le temps à moudre,
Pour des retrouvailles escomptées.
Demain, je penserai à vous,
Pour qu’ensemble réunis,
Vous puissiez vous aimer,
Que la vie enfin vous bénit,
Que votre futur soit ainsi animé.
Cette nuit, je pense à vous,
En partage d’amitié devant un café….
Donne-moi ta position ?
Aujourd’hui, je ne peux me taire,
Nous étions parti ventre à terre,
D’un élan frénétique à deux,
Mais après un tête à queue,
Succinctement, je survole,
Car ici, je convole,
J’ai suivi mon enquête,
Et discuté dans un tête-à-tête
Pour nous mettre fesses à fesses,
Et cela, je vous le confesse,
Enfin, nous allumâmes le cierge,
Car nos idées convergent,
Elle me pria d’appeler le pompier,
Bien après qu’elle avait pris son pied,
Ce fut comme un grand carnaval,
Associé d’une belle bacchanale,
Nous avons fini dos à dos,
Tous cela pour enfin faire dodo,
C’est une partie résumée du gras,
De mon carmât sous le drap.
Comme hier, aujourd’hui je pousse ce grand cri,
L’attente est longue de ne plus lire tes écrits,
Avec toi de ne plus partager tes amours,
De ne plus avoir à jongler de mon humour.
C’est pour moi une vaste et immense transformation,
Que de ne plus traduire en vers toutes tes émotions,
Reviens donc avec moi, trinquer un bon pastis,
Pour rire ensemble de mes piteux pastiches.
A l’humour
Dans mon bagage de l’humour,
Celle au fluide m’amène au-delà,
J’ai beau faire toujours des fours,
Demain, encore, je serai plus bas.
Ma peur décrie mes veines,
Me glace, mais sans whisky,
En vieux, j’me déchaîne,
En premier cas dans l’ennui.
Où fleure bon mon jasmin,
Deviendra ma raison, ma chaîne,
Ce jour, J’me fiche de tes seins,
La renaissance est un sport qui me déchaîne.
Je ne veux pas dissocier le sensuel,
Toujours, je m’efforce de ne pas reculer,
L’humour est toujours éternel,
Pour cette saison encore avancer.
Il vaut mieux être mort de rire sans vanité,
Dans un endroit ensoleillé, ou mon rêve m’emporte,
Damné ou condamné, mais encore à fêter,
Sans feu sans flamme en quelques sortes.
Hier, je pensais à vous
Nous deux, petits vieux,
Nous vous suivons des yeux,
D’un flamand ou d’un wallon,
De savoir convoler, un don.
Ce jour, je pense à vous.
L’été arrive à grand pas,
En ce début de printemps,
Au soleil maintenant,
Le retour arrive, il est là.
Ce soir, je pense à vous,
Aux problèmes à résoudre,
Où la distance ne devrait pas compter,
Mettre en miettes le temps à moudre,
Pour des retrouvailles escomptées.
Demain, je penserai à vous,
Pour qu’ensemble réunis,
Vous puissiez vous aimer,
Que la vie enfin vous bénit,
Que votre futur soit ainsi animé.
Cette nuit, je pense à vous,
En partage d’amitié devant un café….
Donne-moi ta position ?
Aujourd’hui, je ne peux me taire,
Nous étions parti ventre à terre,
D’un élan frénétique à deux,
Mais après un tête à queue,
Succinctement, je survole,
Car ici, je convole,
J’ai suivi mon enquête,
Et discuté dans un tête-à-tête
Pour nous mettre fesses à fesses,
Et cela, je vous le confesse,
Enfin, nous allumâmes le cierge,
Car nos idées convergent,
Elle me pria d’appeler le pompier,
Bien après qu’elle avait pris son pied,
Ce fut comme un grand carnaval,
Associé d’une belle bacchanale,
Nous avons fini dos à dos,
Tous cela pour enfin faire dodo,
C’est une partie résumée du gras,
De mon carmât sous le drap.