Encore un jour qui passe et c’est le nouvel an
L’oubli du temps fuyant au tic-tac sa tristesse
Fleurit la joie au monde étendu vers l’avant
D’un espoir attendu comme un reflet au vent
Sous un ciel lumineux d’un astre en sa caresse.
L’oubli du temps fuyant au tic-tac sa tristesse
Fleurit la joie au monde étendu vers l’avant
D’un espoir attendu comme un reflet au vent
Sous un ciel lumineux d’un astre en sa caresse.
Aux plus jeunes la chance offrant la hardiesse
D’une confusion du risque condamnant
Lorsqu’ils vont s’abreuver d’une frivole ivresse
À ces jeux de déboire à mourir de détresse
Encore un jour qui passe et c’est le nouvel an
D’une confusion du risque condamnant
Lorsqu’ils vont s’abreuver d’une frivole ivresse
À ces jeux de déboire à mourir de détresse
Encore un jour qui passe et c’est le nouvel an
Quand d’autant en emporte à cet instant présent
D’une vague un sourire en ce pleur qui ne cesse
Lors à ce désarroi dans un cœur s’opposant
À cette vue oscille une vie accusant
L’oubli du temps fuyant au tic-tac sa tristesse
D’une vague un sourire en ce pleur qui ne cesse
Lors à ce désarroi dans un cœur s’opposant
À cette vue oscille une vie accusant
L’oubli du temps fuyant au tic-tac sa tristesse
À l’hiver cristallin se dépeint l’allégresse
D’un tourbillon s’octroie en éclair calcinant
La dernière lueur s’éteint sur politesse
Au nouveau jour requiert de sa délicatesse
Fleurit la joie au monde étendu vers l’avant
D’un tourbillon s’octroie en éclair calcinant
La dernière lueur s’éteint sur politesse
Au nouveau jour requiert de sa délicatesse
Fleurit la joie au monde étendu vers l’avant
D’un destin se défend sur un air de pauvresse
Lors souffle aux miséreux un avenir chômant
Poursuivant l’assurance en sa nuit forteresse
Un lendemain unit le jour en sa tendresse
D’un espoir attendu comme un reflet au vent
Lors souffle aux miséreux un avenir chômant
Poursuivant l’assurance en sa nuit forteresse
Un lendemain unit le jour en sa tendresse
D’un espoir attendu comme un reflet au vent
Les roses de l’Éden d’un mythe parfumant
Cette éphémère odeur soulevant la prouesse
S’épanouit ainsi qu’un ru de diamant
Exacerbant la foi d’où chacun essaimant
Sous un ciel lumineux d’un astre en sa caresse.
Cette éphémère odeur soulevant la prouesse
S’épanouit ainsi qu’un ru de diamant
Exacerbant la foi d’où chacun essaimant
Sous un ciel lumineux d’un astre en sa caresse.
Qu’une onde en sa chaleur revêt dans la liesse,
La certitude seule un regard avivant
D’une fleur réjouit l’aura de sa richesse
Que n’est-il de ce souffle ? Estimer la sagesse ;
Qu’à ce grain de folie à cet éclat suivant
Encore un jour qui passe ...
La certitude seule un regard avivant
D’une fleur réjouit l’aura de sa richesse
Que n’est-il de ce souffle ? Estimer la sagesse ;
Qu’à ce grain de folie à cet éclat suivant
Encore un jour qui passe ...
Maria-Dolores
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